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III


À peine arrivé, le commandant sonnait chez son fils. Il ne trouva personne. Il se rendit à la caserne. On lui répondit que Maxime avait une permission de quatre jours. Il attendit quatre jours, désespéré, vieillissant, craignant de mourir dans la chambre d’hôtel où il comptait les heures, où la douleur s’enfonçait dans sa cervelle comme un coin aigu. Enfin, le cinquième jour, il revint au logis de Maxime. L’es-