Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
patries, elle se hâterait de prêter serment de fidélité à celle qui a bien voulu l’honorer de tant de marques de bonté.
Adieu, mon très cher comte : pardonnez-moi cette parlerie patriotique, et croyez-moi avec une estime et une tendresse que vous connaissez depuis longtemps,
Tout à vous et pour toujours,
S…
Chambéry, 8 mai 1784.