Page:Maistre Xavier de - Oeuvres completes, 1880.djvu/134

Cette page a été validée par deux contributeurs.

sous les spacieux portiques de la rue du Pô ; — mille fantômes agréables voltigent devant mes yeux. — Oui, voilà bien cet hôtel, — cette porte, cet escalier ; — je tressaille d’avance.

C’est ainsi qu’on éprouve un avant-goût acide lorsqu’on coupe un citron pour le manger.

Ô ma bête, ma pauvre bête, prends garde à toi !



FIN DU VOYAGE AUTOUR DE MA CHAMBRE.