La Religion, mërode la bonne science, ne demande qu’A la voir se développer, 269 Toujours et partout on a cru que tout fléau du ciel est un châti- ment qui peut être préyenu. 27 S^
CINQUIÈME ENTRETIEN.
Nous ne comprenons, dans les spectacles de la nature, que ce qui est en rapport ayec nos idées innées. 285
Argument que fournissent les animaux en fafeur des idées innées. 289
Des causes. T en a-t-il de physiques? 294
Erreur de Bacon k cet égard. 290
On ne peut chercher des causes dans la nature, qui est elle-même un effet, * 299
La prière tend non seulement à écarter, mais k détruire le mal physique. 500
Elle est une cause seconde, ou bien il faut admettre le fatalisme absolu. 505
Accord de la Religion et de la physique. 5^10
Dieu n’a donné la physique expérimentale qu’aux chrétiens. 51’f
Erreurs de Bacon sur les sciences naturelles. 54 2
Accord de l’action dirine ayee notre liberté. ’ 520
Philosophie du dix-huitième siècle à cet égard* 529
Tout mal est une peine, et toute peine est un remède , excepté la dernière. 555
Toute mort est éternelU. Eternité malheureuse crue partout. 554
SIXIÈME ENTRETIEN.
Le fond de la prière est la foi , et non pas le désir. 540 Le coupable n’a le droit de prier que pour lui-même. 555 Combien il est difficile de composer une Téritable prière écrite. 557
On connaît la Téritable religion k ses prières. 559
Les hymnes de Santeuil ne prient point, 560
Toute nation qui prie est exaucée. 564
Critique de Locke. Il est peu lu, et plein d’idées fausses. 567 ( Nulle erreur ne peut être utile ; nulle Térité ne peut nuire. ) 405
Comment expliquer la réputation dont jouit le livre de Locke. 421
Ce qui fait la fortune d’un livre. 425
Un livre célèbre n’est pas toujours un lirre bien connu^ 428
Puissance et mission de la nation française. 438