debout dans la sacristie auprès de la mariée, finit par attirer l’attention de Maxime. Enfin il comprit qu’il se passait quelque chose d’extraordinaire dans cette tête de petite fille.
— Vite, vite, je t’en prie ! Va à la seconde chapelle à droite, tu y trouveras Marca ; elle est très malheureuse, j’en suis sûre. Tu ne peux pourtant pas laisser mourir de faim celle qui aurait dû aujourd’hui même être ta femme !
Maxime devint très pâle ; il aimait encore Marca par moments. Mais il avait horriblement peur d’une scène en pleine église. Cependant il se glissa à travers la foule le mieux qu’il put ; mais quand il se trouva dans la seconde chapelle à droite, il ne vit personne. Marca avait disparu. Il poussa un soupir, ne sachant pas au juste si c’était un soupir de soulagement ou de regret.