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phine, elle était aussi usée par toutes sortes de débauches[1].
Elle s’éteignit le 8 mai.
Toutes ses lettres furent brûlées aussitôt par crainte sans doute de quelque indiscrétion.
Amédée Goumard, chargé par madame Coras des démarches pour les obsèques, se rendit lui-même au chef-lieu de la commune, alors Laleu[2], et déclara à l’officier de l’État civil, que Joséphine-Marie Ménard, née le 18 septembre 1854, à Saint-Macaire (Maine-et-Loire), de