Page:Maillet - Telliamed, 1755, tome II.djvu/332

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

troit dans la substance des pierres, les lacs & les rivieres ne nourrissant point une infinité de coquillages & de poissons qu’on y rencontre, surtout de ces grandeurs extraordinaires, comme sont les baleines & autres poissons d’une grandeur énorme qui se trouvent quelquefois dans ces pétrifications ; & qu’enfin les lacs & les rivieres ne sont pas capables de répandre ces quantités de matières, & de ces étendues immenses qui s’observent en plusieurs endroits de la terre.

COPIE