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Soit qu’il regarde les Cataclismes ou déluges universels, après lesquels ne restant plus que les animaux Aquatiques, il crut que par succession de tems ils se faisoient amphibies, & puis après terrestres tout à fait ; son opinion se trouvant aussi fort authorisée de celle des Egyptiens dans Diodore Sicilien[1], qui tenoient l’homme, lacustre animal & paludibus cognatum… ex naturæ qualitate ac lævore conjectantes, & quòd humido magis quàm sicco nutrimento indigeat.

  1. L. I.