sur son énorme ventre. Il tient d’une main la garde du cimeterre passé dans sa ceinture et de l’autre la cage destinée à l’Oiseau-Bleu.
Eh bien ?… Comment me trouvez-vous ?…
Qu’il est beau ! qu’il est bête ! qu’il est beau ! qu’il est beau !…
Les enfants sont-ils habillés ?…
Oui, Monsieur Tyltyl a pris la veste rouge, les bas blancs et la culotte bleue du Petit-Poucet ; quant à Mademoiselle Mytyl, elle a la robe de Grethel et les pantoufles de Cendrillon… Mais la grande affaire, ç’a été d’habiller la Lumière !…
Pourquoi ?…
La Fée la trouvait si belle qu’elle ne voulait pas l’habiller du tout !… Alors j’ai protesté au nom de notre dignité d’éléments essentiels et éminemment respectables ; et j’ai fini par déclarer que, dans ces conditions, je refusais de sortir avec elle…
Il fallait lui acheter un abat-jour !…