choisissez pour nous donner ce triste spectacle le moment, déjà assez pénible par lui-même, où nous allons nous séparer de ces pauvres enfants…
Nous séparer de ces pauvres enfants ?…
Oui, l’heure que vous savez va sonner… Nous allons rentrer dans le Silence… Nous ne pourrons plus leur parler…
et se jetant sur les enfants qu’il accable
de caresses violentes et tumultueuses.
Non, non !… Je ne veux pas !… Je ne veux pas !… Je parlerai toujours !… Tu me comprendras maintenant, n’est-ce pas, mon petit dieu ?… Oui, oui, oui !… Et l’on se dira tout, tout, tout !… Et je serai bien sage… Et j’apprendrai à lire, à écrire et à jouer aux dominos !… Et je serai toujours très propre… Et je ne volerai plus rien dans la cuisine… Veux-tu que je fasse quelque chose d’étonnant ?… Veux-tu que j’embrasse le Chat ?…
Et toi, Tylette ?… Tu n’as rien à nous dire.
Je vous aime tous deux, autant que vous le méritez…