Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/30

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Mais je t’ai vue, ô chère enfant, j’ai vu tes yeux,
Ton sourire adoré, ton corps délicieux,
Ton âme. Et, comme au temps jadis, je veux écrire

Des Rimes, qui diront leurs rêves doux et chers.
Il a suffi de ton regard, de ton sourire,
Pour faire éclore en moi tout un bouquet de vers.