Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/17

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

tâche et pour rasséréner son âme, cette force et cette consolation, l’amour du vers, qui aura survécu à toutes les roses fanées et à tous les baisers flétris.


Catulle Mendès