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chef, d’y envoyer son filz avec un régiment, lesquelz le chargèrent de luy faire un très honorable remercyement, l’acceptans sy ce cas se présentoit, et non sans touteffois, en tant que leurs affaires dépendoient de plus grandz, luy en donner encore asseurance. Escrivit en mesme intention à monsieur de Buzenval, ambassadeur du Roy vers les Provinces Unies, (mais nostre singulier amy,) s’il s’y faisoit ouverture de quelque charge sortable, en attente que Dieu par sa grâce monstrera à temps les occasions de le servir, surtout, s’il luy plaist, en l’avancement de son Eglize.