Le beau manuſcrit du duc de Berry, no 9221, porte plates au lieu de tacles, ce qui juſtifie ma conjecture.
On voit ici la différence de la Balade & de la Chanſon baladée. Celle-ci étoit le plus ordinairement de trois couplets formés de vers de deux meſures entremêlées, avec refrain, ou retour à chaque couplet, des deux, trois ou quatre premiers vers. Le chant pouvoit ſe bien trouver de cette coupe légère & variée.
Quant Seigneurie ſaute en place, Amours s’en fuit.
Réflexion qui rappelle une épigramme da Martial, liv. II, 55.
Vis te, Sexte, coli ; volebam amare.
Parendum eſst tibi : quod jubes, coleris.
Sed ſi te colo, Sexte, non amabo.
À ſupprimer. En ce voiage, c’eſt-à-dire par la voie du meſſager de Gaſcogne, qui retournoit vers Peronnelle, & qui ſans doute étoit attaché à la maiſon de Conflans.
Celle qui là preſente eſtoit.
Apparemment la gentille Guillemette, confidente de Peronnelle ; elle reparaîtra plus loin.