qui ont accepté la tâche pénible et délicate de faire circuler les listes, et sur qui est retombé tout le poids de l’affaire. Ce sont :
À Mulhouse, après M. Engel-Dollfus qui a ouvert la souscription, MM. Klenck, Davin, Bader et Charles Thierry-Mieg.
À Colmar, MM. Kœppelin, Charles Berdot, Bavelaër, Faudel, Ignace Chauffour, de Peyerimhoff, André Kiener, Jacques Ortlieb, Brand et Standaert.
À Guebwiller, M. Jean-Jacques Bourcart.
À Giromagny, M. Boigeol.
À Belfort, MM. Clerc et Thiault.
À Altkirch, M. Gilardoni fils.
À Thann, MM. Scheurer et Rissler-Kestner.
À Cernay, M. Rissler.
À Munster, M. Fritz Hartmann.
À Wintzenheim, M. Gilliot.
À Kaysersberg, M. George Scheurer.
À Riquewihr, M. Jöranson.
À Jebsheim, M. Diehl.
À Sundhoffen, M. Kuntz.
À Ostheim, M. Ostermann.
À Hunawihr, M. Zubler.
À Beblenheim, M. Schmidt.
Qui pourrait mettre l’étiquette à chacun des noms qui remplissent cette liste des travailleurs de l’association, verrait que toutes les nuances de position et d’opinion y sont représentés, et que le millionnaire y figure à côté de l’instituteur de village, le catholique à côté du protestant, le conservateur à côté du libéral, s’il est permis de rappeler ces nuances-là à propos d’une œuvre si libéralement conservatrice.