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que l’accord avec la majorité du monde extérieur, ces vieilles questions le sollicitent de nouveau, comme des amis longtemps oubliés ; il apprend à supporter ceux dont il différait auparavant ; et tandis qu’il est disposé à se départir de tout ce qui n’est pas essentiel — et beaucoup de différences religieuses me paraissent résulter de questions non essentielles — il s’attache de plus en plus fermement aux quelques planches solides qui lui restent pour le conduire au port qui n’est plus bien loin de sa vue. On a peine à croire que toutes les autres religions aient complètement méconnu ces simples faits, qu’elles aient essayé de nourrir les vieux et les sages avec un aliment destiné aux enfants, et qu’elles aient ainsi perdu et se soient aliéné leurs meilleurs et leurs plus sûrs amis. C’est donc une leçon bien digne d’être enseignée par l’histoire, qu’une religion au moins, et l’une des plus anciennes, des plus puissantes et des plus répandues, a reconnu ce fait sans la moindre hésitation.