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En voilà assez pour montrer que la philosophie védanta, si abstruse que soit sa métaphysique, n’a pas négligé l’importante sphère de l’éthique, mais qu’au contraire nous y trouvons la morale au commencement, au milieu, à la fin, sans compter que des esprits aussi pleins de choses divines que les philosophes védanta ne sont pas enclins à succomber aux tentations ordinaires du monde, la chair et les autres attractions.