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Il y a quelques autres livres de mérite, tels que la traduction du Védanta-sara, qui est plus moderne, par M. le colonel Jacob, et quelques textes encore traduits par le professeur Venis dans le « Pandit ». Les essais de Colebrooke sur la philosophie hindoue, quoiqu’écrits il y a longtemps sont encore très instructifs[1], et les essais du professeur Gough sur les Oupanishads sont dignes d’une sérieuse considération, quoique nous n’admettions pas l’esprit dans lequel il a été écrit. La même remarque s’applique à une œuvre intitulée : Une réfutation rationnelle des systèmes de philosophie hindoue » par mon vieil ami Nilakantha Sastri Gore (un converti au christianisme et missionnaire à Pouna), traduit de l’hindi en anglais, par le Dr Fritz-Edvard Hall, Calcutta, 1862, œuvre érudite et honnête, mais écrite dans un esprit de controverse avéré.

  1. Cet ouvrage a été traduit en français par M. Pauthier. (Paris, Firmin-Didot, 1834). (Note du trad.).