glise… noces et festin… bal… Strauss… le 12, nos visites de mariage et de départ… mettons encore deux jours pour diverses emplettes ; nous partons le 15 juillet, mes enfants !
— Mais, mon bon père, dit Louise, il n’y a pas de semaine sainte en juillet.
— Eh bien ! nous l’attendrons.
— C’est cela ! et nous irons à Naples en l’attendant.
— Et nous emmenons Agnès avec nous, ajouta M. Lebreton.
— Moi, dit Agnès d’un ton sec, je ne voyage que dans Paris.
— Oh ! dit Louise, toi, quand tu nous verras partir tu changeras d’idée.
— Avez-vous vu une joie folle comme celle de Louise, mon cher Auguste ? demanda le père.
— Jamais… jamais… dit Auguste. C’est… c’est une joie qui…
— Donne la joie aux autres, interrompit le père.
— Mais laissez donc finir sa phrase à M. Auguste ! dit Louise.
— Oui, ma fille a raison, achevez votre phrase, mon cher fils.
— Vous l’avez très-bien finie pour moi, monsieur