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chent, non point seulement pour lui, mais aussi pour la France, dont il voit déjà s’obscurcir l’horizon :
« On parle de grands voyages ; mais, au train dont vont les choses, je ne vois guère de projets qui puissent tenir. À tous ceux qu’on fait, il faut ajouter : Si M. de Bismarck le permet. »
Déjà ce nom portait le trouble et la menace dans l’entourage de l’empereur. L’épouvantail n’était pourtant encore qu’un jeu. « S’il plaît à M. de Bismarck, » cela se disait en plaisantant et n’empêchait ni les mascarades, ni les nuits vénitiennes, ni les cours d’amour.