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de me démentir en m’opposant une certaine correspondance on ne peut plus intime, conservée à la bibliothèque d’Avignon, et qui, vraisemblablement, ne sera jamais publiée.

Qui souhaite se gaudir, se solatier et s’esbattre en compagnie du Mérimée rabelaisien, n’a guère qu’à aller le chercher là. Ces lettres, fort nombreuses, furent adressées pendant une suite d’années à M. Réquien, que l’auteur du Vase étrusque avait rencontré sur son chemin dans les promenades archéologiques qu’il faisait en province comme inspecteur des monuments de l’État. Ce n’était assurément pas le premier