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me tient au courant de mes petites affaires, est toujours à la campagne, et ma gouvernante n’est pas très-ferrée sur l’écriture, trop discrète, d’ailleurs, pour examiner les paquets qui m’arrivent.

Adieu, chère Présidente. Je vous souhaite une bonne fin d’année, santé, joie et prospérité, et je vous supplie, quand vous n’aurez rien de mieux à faire, de m’envoyer quelques lignes de votre blanche main, que je baise très-humblement.