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IV


Saint-Cloud, 21 juillet.


Chère et aimable Présidente,


Votre lettre me comble de joie, malgré tous les reproches qu’elle m’adresse, reproches moins durs d’ailleurs que ceux de ma propre conscience. La vérité est que j’ai égaré parmi mes papiers votre dernière lettre, qui contenait votre adresse en Alle-