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jolie femme habillée en capucine. Encore la femme peut se tirer d’affaire en relevant ses manches, ouvrant un peu sa robe, tandis que la prose jette son lourd manteau sur les belles formes.

J’ai donné à Tourguénief ma traduction des Prizaki[1], qu’il a mise dans la dernière Revue des Deux Mondes. J’ai encore traduit un petit conte de lui, intitulé Codaka, que je vous engage à lire dans l’original. Présentement je suis très-occupé à faire un article sur le second volume de l’Histoire de Jules César. Vous comprenez les difficultés de la chose et les écueils entre lesquels il faut naviguer pour n’être ni cour-

  1. Les Prestiges.