Bah ! bah ! Cicéron, y pensez-vous ! Si j’allais me laisser un peu entraîner à lui parler d’un chien courant, ou d’un limier…
Non, non, vous ne vous entendez pas seulement en chiens, vous savez organiser un dîner… Non, Ammos Fëdorovitch, ne nous abandonnez pas. Soyez notre père… Non, Ammos Fëdorovitch.
Permettez-moi, Messieurs…
Aïe ! Pëtr Ivanovitch ! Pëtr Ivanovitch, vous me marchez sur le pied !
Ah ! de grâce ! Messieurs… ah ! laissez-moi sauver mon âme au moins… Vous m’étouffez ! Je n’en puis plus.
(On entend encore quelques interjections : oh ! aïe ! etc. ; enfin tous sortent et la chambre demeure vide.)
Scène II.
Il paraît que nous avons pioncé comme il faut. Où diable ont-ils pris tant de matelas et d’édredons. Je suis tout en sueur. On m’a flanqué je ne sais quoi hier