Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
nant un ton de voix bas et insinuant : « Savez-vous, mon cher », dit-il, « que vous pourriez me rendre un grand service ? »
— « Comment ? »
— « Il faut que vous m’aidiez dans cette affaire. Je sais que son mari est très-mal pour elle — c’est un animal qui la rend malheureuse… vous l’avez connu, vous, Perrin, dites bien à sa femme que c’est un brutal, un homme qui a la réputation la plus mauvaise… »
— « Oh !… »