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devant son visage, en prenant soin de ne pas déranger ses cheveux :
- Pardonnez-moi, je ne le ferai plus ! dit-elle du ton d'un enfant qui vient de voler des confitures.
- Je ne vous pardonnerai, chère Pani, lui dis-je, que lorsque vous aurez rempli certaine promesse que vous avez bien voulu me faire à Wilno, chez la princesse Katazyna Paç.
- Quelle promesse ? dit-elle, relevant la tête en riant.
- Vous l'avez déjà oubliée ? Vous m'avez promis que, si nous nous rencontrions en Samogitie, vous me feriez voir une certaine danse du pays dont vous disiez merveille.
- Oh ! la roussalka ! J'y suis ravissante, et voilà justement l'homme qu'il me faut.
Elle courut à une table où il y avait des cahiers