Page:Mérimée - Dernières nouvelles de Prosper Mérimée, 1874.djvu/359

Cette page n’a pas encore été corrigée

savez comme il maltraite les prêtres et les moines qui tombent entre ses mains : c’est qu’il sait qu’un prêtre doit bénir la cire qui le tuera.

Vicente en eût dit bien davantage si dans ce moment le château de Murviedro, que nous aperçûmes au tournant de la route, n’eût donné un autre tour à notre conversation.


Valence, novembre 1830.


FIN