Page:Mérimée - Dernières nouvelles de Prosper Mérimée, 1874.djvu/188

Cette page n’a pas encore été corrigée

Un jeune homme se promenait d’un air agile dans le vestibule d’un chemin de fer. Il avait des lunettes bleues, et, quoiqu’il ne fût pas enrhumé, il portait sans cesse son mouchoir à son nez. De la main gauche, il tenait un petit sac noir qui contenait, comme je l’ai appris plus tard, une robe de chambre de soie et un pantalon turc.

De temps en temps, il allait à la porte d’entrée,