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faire aucun de mes métiers officiels. Il faut s’exécuter enfin, et prendre un parti, quoiqu’il arrive. J’attendrai pour la Sainte-Eulalie, puisque j’ai déjà attendu assez longtemps. Je crois que, du côté des broches et des bagues, l’embarras est le même. Il y a encombrement dans les tiroirs de ma cousine depuis le temps que je lui souhaite sa fête. J’ai épuisé toutes les variétés de brimborions possibles. Si vous avez découvert quelque chose de très-extraordinaire et qui ne soit pas ruineux, vous aurez résolu un grand problème. Il y en a un autre bien plus intéressant encore, et sur lequel j’aurai à vous consulter. C’est sur la façon honnête ou non de faire venir des habits d’Angleterre. Il ne se peut pas que, parmi vos loups marins, il ne se trouve pas quelqu’un à qui M. Poole pourrait envoyer mes vêtements. Réfléchissez à cela et vous me rendrez grand service. Adieu, chère amie. J’ai passé une nuit abominable et je tousse à me rompre le crâne. J’espère que vous avez échappé à toutes les grippes qu’on m’annonce. Il semble qu’à Paris tout le monde est atteint et qu’il y a même des gens assez bêtes pour en mourir. Adieu encore.