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N’en déplaise à M. Vigné d’Octon, sa mémoire le trahit. Le sonnet n’est pas de Pelletan. Victor Méric pourra, quand il le voudra, mettre le point final à cette amusante histoire…


Ma foi, je n’ai pas de point final à mettre. Les vers sont-ils de Pelletan ? Peut-être ben que oui ! Peut-être ben que non !

Qui nous aidera à résoudre l’énigme des « grands yeux clairs » ?