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et l’empire romain dans le monde : telle est l’antinomie de l’orthodoxie ainsi que du catholicisme. Si l’absolutisme ne s’était point ébranlé, l’Eglise resterait soumise au Tsar, elle n’aurait pas rêvé au patriarcat, pas plus que le Tsar n’aurait cherché un appui sur l’Eglise. L’absolutisme et l’orthodoxie sont un Janus : l’un ne peut vivre sans l’autre.