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Le monde, l’infini du livre me fait peur.
J’ai lu pourtant, mais la pensée est innombrable ;
Elle fait presque un dieu de l’homme misérable,
Qu’elle soit un soupçon de lumière, ou l’erreur.
Le monde, l’infini du livre me fait peur.
J’ai lu pourtant, mais la pensée est innombrable ;
Elle fait presque un dieu de l’homme misérable,
Qu’elle soit un soupçon de lumière, ou l’erreur.