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Avant de nous quitter, lecteur, voici ma main :
Prends-la ; car nous pouvons nous retrouver demain,
Dans un azur plus haut allant d’un vol sans règle.

J’ai parfois fait dessein de prendre mon essor,
Et, sans un vague effroi qui me retient encor,
De tenter jusqu’aux cieux le bond puissant de l’aigle.