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AMANT ATRNA CAMEN II est nuit : Rome doff, serene et reposde ; Le Foram est ddsert ; le ol du Colisde Boit le sang’ rdpandu dans les jeus du matin ; La lane disparatt derrire l’Aoentin. Chaqe temple a fermd sa porte aus ieus oulg’aires, Mais les inieids cdlbrent lears mistbres, Et leur prire, aoee l’eneens des trdpieds d’or, Dans l’air sileneieus oibre et s’dl,e encor. Non loin d’eus.cspendant, a u fond des catacombes, Dant un simple autel qi n ’ a pas d’dcatombes, Au milieu des tombeaus, tout un peuple it g’enous A lears imnesjoj’eus mle un chant triste et dous. Vdnus ! reois nos oaus ; les eureus sont tes prtres ; Tu soaris, et l’amour eniore torts les ttres, Les fleurs de l’dtd germent sous tes pas. ANT ISTROFE Dieu mort pour nous, qi fts une oertu des larmes, Qand on soufre pour toi, la doulear a des charmes ; L’ ome t’ oublirait s’il ne soufrait pus.