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PROMTH]E D]LIVl Pour a’ioer fi Dieu, so.ez come l’enfance, Lrmbles, chastes et dons. La superbe oertu des eareus de la tre roulait des riots de sang pour laver une errcur : Du pdeheur repentant j’ ai bdni ia pidre, Etje n’ai demandd de la fame adultre Q’une iarrne du caur. Partout rdg’ait l’orgueil, partout le vice immonde : Les peuples s’ endormaient dans lear iniqitd. J’ai fait briller ma erois dans cte nuit profonde, J’ ai lard de mon sang les souillares du monde, Et je l’ai raehetd. Et eependant, Seigneur, dans le fond du ealiee $i ma lvre a laissd qelqes goutes de.fiel, $i pour !es racheter c’est trop pen d’un suplice, Je puis encor, $eigueur, m’ofrir en sacrifice Pour leur ourfir ton ciel. .Mais non, tout est fini: l’ige nouveau comenee. Adieu, divine foil l’ome alerind son ewur ; II a sacrifid l’atnour la science. A utrefois il crofait, et maintenant il pense: Le serpent est ,ainqeur. $agesse nmaine, d toi q’fi ma plaee je laisse! Est. ce toi qi diras : Enfants, {,enez moi? Non, ton Dieu, c’est l’orgueil : il proserit la faiblesse. fie rentre dans la nuit incrffte, d sagesse! $ans fldchir derant toi. Et tule pens, 5 Grist ! Dans son llerinage,