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30 rorHlg DLI’I Aoez-oous ya potter l’ or, l’ enens et la mire Au nouveaa-ng des naions? Ou bien, si l’avenir ne doit plus rien atendre, $i Dieu dona tout au passd, ’0 proftesl parlez, je oeus encore entendr Les chants dioins qi m’ ont beted. MNOU. L’ternel Brahm, serein dans sa grandeur suprme, Impdndtrable et seal se contemple !ui-mme. ll est tout, tout est lui, l’.univers est son nom. Come un roe di,in, de sa vuste pensde La nature in. finie un jour s’ est allanerie, Armonie ans cent oois, mobile et nuancde, Reflet toujours changeant, oioante illusion. $i Brahm n’incarnait passes paroles fdcondes, Tousles tres sans nombre, et les Dieus et lez mondes Rentre’aient au ndant ; mais eelui qfi c’da, Pendant l’dternitd conserve et renom,le. Et oons, sas’es dias, saints h qije role De ees divins secrets la lumire #nmortle, Gaehez-les ijamais & l’impur paria. Et qi done t’ a permis de sdparer, 5 sas’e ! Gens qe la ’aison sainte a told[ours confondus? Dans l’dternel banqet promis au nouvel fig’e, Tous seront ape!s, et tous seront !us. MANOU. Brahm les.fit indg’aus : qi l’oublie ou l’iKnore,