Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/41

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PROMJ*TH.] 0 mort libdrateur, .salut! K..lpire dternl , A ton brus tout-puissant invord tant defois / Partas’e, dds ee jour ma puissance nouodle ;. , L’unipers i jarnais est soumis i rnes lois. Oui, e’est grieve i res dons qej’ai conqis la tdre. En tous lieus ta science, im, isible lumire, M’a conduit an milieu de cent pdrils dioers. Et par toi de Hades violant les tdnbres, J’osai tirer du sein des profondeurs funbrce Les fantdmes sans nom re cavhaient !es enfers. L’I'be est sans terreur, et ta flizme saerde ]claire, astre vieant, la tre ddlivrde : La science et la force ont conqfis l’univers. ARMONIA 8imbole glorieus de la grandeur umaine ’ De la raison proserite et de la volontd, $u’ le monde, d Titan! pendant l’dternitd, Tu rdgneras, auprs des ddbris de ta halne. Mais, plus fort qfe ces Dieus jamais ddlaissds, Tu rdooneras aussi sur les sicles passds. 0 oous, rdodlateurs, .flambeaus de l’ancien monde, Vous qi, de l’ome enfant guides mistdrieus, Pour ussurer ses pas le suspendiez aus cieus, Et qi dormez, depuis, dans cte nuit profonde Oh oous aliez chefchef , tremblants et prosternds, La milne qi nourit les peupes nouveau-ntis; Leez-oous, paraissez! qe mes accents maKiqes $’dlancent, refldtds aus 8’rands dcos du ciel, Par del les soleils et le vide dternel,