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pROM]TIIIZ D!LIVIII LE CH(ECR. L’co du ciel s’endort : lear aile aliafane, Lear musi,e et leur chant, Glissent sur les ra’ons des astres du vouchant. Dans les.fiois le lYter lear blanc cort’e plane; Partout l’ombre les suit; Hdlas! hdlus/ partout le silence et la nuit. PROM!TH]E. Non, non, ooici lejoar! 0 lumir sacre! Premier ra.y’onjailli de la hue empourprffe, . ’unioers te salue, et la tre eni,re Ghante un imne d’amour. Sons le manteau nKeus des monts qe l’aube dore’ Marmare des glaviers la profondeur sonore : Tel, Memnon, palpitant aus baisers de l’Aurore $aluait son retour. Et, jetant sous ses pas sa pourpr triomfale, ’ aubs dcoute yes chants, donee plainte 7’ exale, Come nn oioant soupit, la tre oirs’inale Aus caresses du jour. , L’ astre dan sa beautd s ’a,ance, et chaqe gtoile Dans un de ses raj’ons s’em,elope et se ooile ; l;es nocturnes terreurs passent ds q’il a lui. HcYtwls, piens en. fin, guidd par sa lumire, 0 oainqeur des lions/hdros, Dieu de la tre, Gome lui bienfaisant, atendu come iui. ARMONIA. ,le oois it l’Ocvident une sombre fosse; Tourno. yant dans l’espace, un immense ,autour