Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/342

Cette page n’a pas encore été corrigée

A l’entour de i’autel, an peapie immense adore Le dernier mistre et la grande loi. Car e’est llt q’un Dieu s’ofre en saerifee : Il fa,u.t le bec sangiant du vautou’ gternel Ou l in fitme gibet de l’dternel’suptice, Pour faire reenter l’itme ureainc au del. Tous !es grands hdros, !es saints en prire, Veulent aooir !cur part de divines douleurs : Le bhcher sur l’ta, la ereis sur le Galoaire, Et le ciel, au pris du sang et des pleurs. ’Mais au fond du temple est une chaple Discrete et recueillie, off, des eieus entr’ouoerts, La colerobe dioine ombrage de son aile [.In lie put, delos sous lee palmlets vert.s. Fleur du paradis, Vierge immaculde, Puisqe ton chaste sein congut le dernier Dieu, ltgne auprts de ton ills, ra’onante, dtoilde, Les pieds sur la tune, au fond du ciel bleu.