Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/331

Cette page n’a pas encore été corrigée

HELLAS De l’antre de la nuit sortait la blonde aurore; La lute do l’ioer et dujo’eus printcrops Aus grands dcos du ciel retentissait encore: Decant les j’eunes Dieus fu.y’aient lea oieus Titans. Du limon fdondd par de chaudes alines La race des Hdros naissait sur lea hauteurs, Et Ivs peuples nouoeaus descendaient dans les plaines, Et sous lears pus 8’ermaient lea imnes et les fleurz. Un brouillard d’or, du fond de l’umide valde, Irers lea splendears d’en haut montait come un encens, $ar lea cimes fumait la nge inviolde, Lea chines inlinaient lears feuillages puissants. A l’lspre odeur des monts, sous lesforts profondes, L’iavinte mlait ses aromes dans l’ air ; Les filles des somets ngeus, les fratches ondzs, Dansaivat dans lea roseaus aoec un fire clair. Aus 1ointains bleus, du haut des sacrds promontoirae, Lea oents marina soufiaient sous l’ a:ur dclatant ; Blanches come l’dvume au fianc des oagues noires, Les files de la met bondissaient en chantant. Parmi les tourbillons d’arg’ent du larg’v flvuov, Lea ignes blans ooguaient ; le grand vil radieus