PROMETHE DLIYR r9 Du rddempteur promis it roes destins. Mortel, attends qelqes cures encore, Et de la tbre et du tielie suis roi : Les Dieus sont morts, car la foudre est it moi. Pouri-oous nous mentit, parrums, edlestes brises. Vents’des tres promises, ltaons m, ant-coureurs, Mirages lumineus des autores prochaines, Harpes dolines, Qi oibrez dans les coeurs ! Un espoir inconu dans mort itme fermente, Ma fore ddfaitlante ff apu h ta oertu. Tu pd retour du soleil qej’implore, f atends en pa l’aurore, Et doute est oaincu. Ma ombre de Ioln se prdsente & ma vue Est-ce un mortel, un Dieu, qi porte ici ses pas Du Uaucase il ateint ddjh la time hue, Et, come s’il suioait une route conue, Da la nuit sans dtoile il ne s’gare pas. G’est unejeune flle, et de son front pudiqe, Geint d’un chaste bandeau, sur ses pieds iongs plis Tombe un ooile de lin ; sur sa noire tunie Brilie une crois : du Urist c’est l’dpouse mistiqe Qi od dans les ddserts de oions remplis. O fil d’lnachos, ier de Zeus chrie, Esbee toi ? Diitizcl ,Go6gle
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