Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/322

Cette page n’a pas encore été corrigée

CIMU’IUS COP, DUS Les peuples oieillis ont besoin d’un maitre ; Ge n’ est plus en eus q’ils therebent la loi. Dans un autre sicle il m’eitt falu nattre : Il n’est point ici de placepour moi. L’iddal q’avait rvd ma jeunesse, L’dtoile oit montaient roes espoirs perdut, Ge n’dtait pas l’ art, l’ amour, la riohesse, G’dtait !a justice; etje n’i crois plus. Maisje suis bien las de ces tirannies Q’adore en tremblant le monde it genous : Peuples drierotis, races accroupies, Nous ldchons les pieds qi marchent sur notrs. Le prdsent est plein d’ odieuses choses, L’aoenir est morne et ddsespdrd : $i l’on peut choisir ses mdtempsicoses, Ge n’est pas ici qeje renattrai. Qand la mort, brisant la dernibre.fibre, Au limon natal oiendra m’ aracher, $’il est qelqe part un astre encor libre, Lit-haut, dans l’dter,je l’irai chefchef.