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Les ns des 8’laaiers boioent la hue errante. TantOt, flambeau du pole, en fransv oaeillante, J?aurors.bordale iva dresser sa tente ; Tandt tm re/let rouge en dore les contours. ’detairjaillit des fianes ddehirds du nuas’e, La trombe rOmot sa ehatne : au choe deson passas’e L’air, dbranld rugit ; mais ne erains pas l’orage, Tu’peus dompter la foudre et diris’er son eours. Esprits divins, feondez mon gnie, Et g’lt travers !es’cie impdntrs f entende enfin la mistiTe armonie ’.sfres d’or et des nombres sacrds. G v en oain sur sa time glace enehatne encor ; je suis, malgrd les Dieus, re ddjh come l’ aigle des vieus, Et sur monde, au nora de ma pensde, .,OaPtif,. brd par ces chatnes defer, Je p rder, braoant Ze, calme et fier. ’ Par ma parole, esprits, ,otre science, Ghez les mortels pdndtrant ehaqe jo. ur, .4 d’Hdraels’ fdcondd la puissance Pour q’il bristt roes chaines it son tour. Mortol, res ieus ,ront m,ec l’aurore lles fers tombet sous !es puissantes mains