Titan, I,e les ieus oers la ooitte profonde. De soleil en soleil, d’un monde it l’ autre monde, $e croisent des apels sans fin ; le ciel s’inonde De rarons et d’acords pendant l’dternitd. Toi qi conqis la flitme, assiste it ees mistres, Titan ! notis t’aprendrons le lanB’ag des sfbres, Tu sauraz mesurer leurs eourbes solitaires ’t des champs bleus du vici sonder l’immensitd. LES FoRrs Titan, suls le rigdale o& s’dB’ar la ole, Ghatne a mi aneaus d’ or, trame im et fleu, Fuoe a eouran sans nomb, incessante armonie Qi hart, i urt, i monte et descend Wur h Wur. Dans les bo planture oh ehaq erbe frsone Au ehaud soil dYtd, da le el i raone, Dans met a flo noirs i mut t bouillone, En to ! oo rder l’unioersel amour. L! MO.N’TAGNF Par des sixties sans nombre dteinte et refroidie, a tre, pour gatder sa chaleur etsa oie, Dans les ddserts glaeds de la o&te infini, D’un manteau de granit eouore ses larss flanes.
Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/31
Cette page n’a pas encore été corrigée