Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/29

Cette page n’a pas encore été corrigée

Bt toi, roi du passe, Tout. Puissant, Dieu suorme, Sous mils noms dioers restant toujours le. mrn, Q’on t’atl Brahma, Zeus, Iahweh, $eigear, 0 pouooir inconu ! qele nora e tu ’Moi, brisd par ta foudre et meurtri par res chatnes, Moi, ton scut neml, je braoc ta fureur.

Non, tu n’az pas aincu, ’carj’ignore la crainte,

Etjamais de mon sein ne sortit une plainte. Tu ooulais me ooir seul, inconsold, maudit,

’t malood res oautours, et malgrd ton torture, 

Ma triste solitude est peuplde et la tre, Par mile chants d’ amour toujours me rdpondit. VOiS DANS L’AIR. Qe sur ta poitrine brtdante V’oltisq p une brise odorante, Et qe son aile frdmissante Caresse ton corps afaibli : Qe le soreell sur toi deseende, $ur res ieus dioins ’il dtende ,.Res laes tranyarents, et rdpande $a coupe d’or plane d’oubli ! Brise, baigne en passant res cites Au caliee des J7eurs nou,les ; Verse it ces nges dternles Jes parrums de leur sein oermeil : Pendant qe la nuit de son ooile Ddroule l’inoisible toile, O& chae perle est une dtoile, O& chaqe agrafe est un soleil. fie reconais ees oois ’: les OrCades blanches, Zes Nimfes, les Zdfirs balances sur les branches,