Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/286

Cette page n’a pas encore été corrigée

END YMIO,’: ENDYMION Dans ia met d’Espffrie ans vaB’ues empourpres Elias teint ses flfimes sacrcs. Pan, le dis,in pastern., de sailrite aus sept I,ois Atnise leatomcat l’armoniense piainte, El, soas les ddmes ,erts des antres d’Arakinthe, S’endorment en pnis les Brands ce;fs des bois. l n’ira plas troubler leur paisible tetraire ; La D.’)'ade, au sein de l’ombre discrete, Entraine le chnsseur sons des bosqets charmants Car c’est !’et.’e nmoureuse oh de ldKers bruits d’ailes Passeat dans l’air autonr du aid des tonrteries, G’est !’cure da soir propice aus areants. ]lais ce n sl pas to ur ,oir ’lisserparm i !es bran ches L’essaim jg’itif des Dc)’ades blanches Qe je suis ,enu scul a fond des bois sacrs : G’est !our sentit, du’ soir & l’aube marinate, 0 blonde l(’nthia ! ta hleur oir[,inale mbcr sly’ mon./’ont des ciets a:urffs. PllOln/.:. Je suis la ,iere aus pieds d’arKent, aus chastes ,oiles, Qi Kuide au ciel le chwur cadenc des tviles, La blanche Artemis, reine dcs forts.