Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/28

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Dans un revueillement austdre, Conw un Disu nouoeau l’adora. oud sat une crois sanglante, rn ome aparut it mes ieus; II parla : Is monde en atente Crut dans sa parole vivahte ; $a oois dtait lYeo des vieus. $a mort dtait un stwri. fie : Du eiel suspendant les arts, I1 nous sauoait par son suplive, Et de la divine injustice I1 subissait seal les ddcrets. II nous ldgua sa crois divine Pour delairer tout l’anioers, Come au somet de la volline rn fare brillant illumine Lea orizons loinrains des reefs. Et deus mile ans la tre entire $uioit ee fanal radieus ; Mais le sirebole tutdlaire Dans le eiel q’lt pne il dclaire, $te en mourant ses derniers leas. Laisse fuir le passd : l’ aoenir se ddroule ; Grossi par ehaqe instant, le torrent des jours coule, Ghariant les Dieus morts et les trOnes ddtruits. Les grands jours vont ,enir : l’dternitd fdeonde Va de ses.fianes profonds laisser sottit un monde A l’eure o& de roeslets tomberont les ddbris.