Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/252

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Euforion mattdig tout le peuple, lanant Aus qatre vents du ciel des goutes de leur sang Vous aoez s tnourir, d GriSts de ’tous’les itges! 2;Iais tous, et rataroe les plus forts, ous phlissiez depant l’insulte et les outrages ’ De ceus pout’ qi oous tes morts. Demi-Dieus rOdempteurs, hOt’os du sacrie, Dans potre nuit des Olipiers, Tous oous disiez : ((Seigneur, dOtourne cecalice! Et tous pourlant pous le bupiez ; Et pous lepiez les ieus pets !es sfres sernes Oti bri!lait otre ustre idOal ; Gat, par delit ce flot des !hchetOs umaines, La crois se change en piOdestal, Et le Mais tetnps ceint pos fronts d’une aurdole pure Au jour des tardifs repentirs. ce peuple, qi n’a qe l’oprobre et l’injure Pour ses saupeurs etses martirs, (e sa !oi s’accomplisse et qe sa pois s’ exale En chants de rOsignacion Et q’il soit bala.),O sous la lourde rafale De iYternle opression, Ralnmez pos fiambeaus et reprenez pos fbtes 0 pous, les Oius, les eureus, G’est pous ge la ttre est lierde et vous tes es tout-puissants, les rois, les Dieus. Tout unpeuple alamo dans la nuit froide et sombre A potre seuil piendra hearlet: