Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/250

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UFOaO .l entendis s1ever de route cte foule, Un immense sanKlot dont le ciel retentit, ’ Puis une vois vibra dans l’air sonore et dit : France, pdle du ciel, qe dans lear nuit profonde Les peuples imploraient, venKeresse au bras fort Qi donc a pu tarir, O hourice du monde, Ta mamle f;conde Sous un soufie de mort .o .ous t’aoions confide it d’ffternles ftes, Car notre veil proftiqe apercevait toujours, Par del& !’orizon des fanKeuses temptes, S’alamer sur nos ttes L’aurore des oov.ands jours. Maisen ,ain nons donions tout le san K de nos ,dnes, Ce ne sont pas tes fils, enfants tiolds, Qi ,iendront ramasser nos armes soueraines, Et briseront les chaines Des peuples flaKel!s. D’autres races viendront, plus jeunes et plus bles, Prendre le sceftre d’ or qe tane peas tenir, L’umanitd poarsnit ses courses ternles, Place aus races nouvles Et place it !’avenir! ) La vision de mort nYtait pas achede; Come un roc noir batu par la met soule.,de, Un irnmense chafaud dans les airs se dressa, Et l’immolacion des martits comenca. Tons ceus qi, pour le nora de la sainte Justice, A,aient dondjadis lear vie en sacrifice,